En partenariat avec le Vieux Brindas.
Toutes les infos dans l’agenda du Vieux Brindas.

Cela fait deux ans que Lucile Delorme s’occupe de la ferme du Châtelard, à Francheville : La Ferme du Courtil.
Lucile a fait appel au comité des anciens de Francheville pour demander de l’aide pour organiser la première édition de la Fête de la Fenaison à Francheville. Le comité lui a transmis les coordonnées du Vieux Brindas, du patrimoine de St-Jean-de-Touslas, pour apporter des réponses à ses questions : organisation de fêtes, comment faucher les foins avec les vieux outils comme la faux, son aiguisage et la fabrication d’une meule de foin…
Lucile recherchait des personnes ayant déjà pratiqué, afin de pouvoir donner des explications le jour de la fête.
Le jour de la fête une partie du foin sera fauché à la faux. Une ou deux meules seront construites.
Un stand expo vieux outils, un stand pour expliquer la pratique, une buvette et comme le dit l’affiche, on peut apporter son pique-nique.
L’équipe du Vieux Brindas a déjà participé au fauchage d’une partie du foin, une autre partie sera fauchée avec des outils de fauchage le 29 juin.
Gaby Héreng, Guy Bess et Marie-Agnès Voisin sont sommes allés aider Lucile pour une première coupe, afin qu’elle puisse préparer à l’avance une ou deux meule(s) de foin.
Marc Chevat, Gaby héreng, Jean-Louis Vincent et Marie-Agnès Voisin ont participé aux réunions de préparation de cette fête.
En tant qu’association du patrimoine de Brindas, le Vieux Brindas participe pour échanger nos savoirs et, comme nous l’avons fait auparavant pour le collectif du Rantonnet à Rontalon, comme les moissons.
Vous trouverez ci-dessous une galerie de photos de la coupe de foin du 16 juin 2025, ainsi que, plus bas, des informations sur le Courtil de Lucile.
Site web : https://www.le-courtil-de-lucile.fr/
Le Courtil de Lucile est une microferme maraîchère où tout est cultivé à la main, sans carburant. Installée depuis 2023 sur une prairie du Châtelard, écocentre jésuite à Francheville, Lucile a pour défi de produire assez sur 3000m² pour dégager un salaire et financer un saisonnier.
La ferme est nichée dans une zone naturelle et refuge LPO (Ligue de Protection des Oiseaux). L’objectif de Lucile est de créer un lieu ouvert au public afin de parler saisonnalité, maraîchage sur sol vivant, permaculture, agriculture urbaine ou encore biodiversité.
Avec le Courtil, Lucile souhaite recréer du lien entre les citadins et le monde agricole en valorisant une grande variété de légumes, de plantes aromatiques et de fleurs comestibles. elle privilégie la vente directe sur la ferme afin d’échanger avec les consommateurs.
Une démarche respectueuse des paysan.nes, des consommateur.rice.s et de la nature.
En 2024, le diagnostic en agriculture paysanne a évalué 6 thèmes sur le Courtil de Lucile pour comprendre son fonctionnement, ses points forts et établir des repères afin de continuer à progresser.
Découvrez en exclusivité une série de près de 700 photos en noir et blanc prises par Marie TROTOBAS, correspondante du Progrès dans les années 1980.
Si vous êtes un.e Brindasien.ne de longue date, contribuez à légender ces photos !