Une attestation de sortie dérogatoire datant de 1720, délivrée à une personne « d’une taille médiocre » (sic). Dénichée par un historien.
Voir l’article du Huffington Post pour en savoir plus.
Une attestation de sortie dérogatoire datant de 1720, délivrée à une personne « d’une taille médiocre » (sic). Dénichée par un historien.
Voir l’article du Huffington Post pour en savoir plus.
Découvrez une page d’Histoire presque inconnue.
Retrouvez toutes les infos dans l’agenda du Vieux Brindas.
Toutes les infos dans l’agenda du Vieux Brindas
Le village, symbole de vie tranquille, est constitué d’une place, d’une église, d’un cimetière, d’une mairie, d’une école, d’un café restaurant… quand il y en a encore !
Mais, du temps des Gaulois et des Gallo-romains, à quoi ressemblait le village ?
Existait-il déjà, ou est-il de création beaucoup plus récente ?
Paul Pelcé, titulaire d’un Master 2 en Histoire et Archéologie médiévales, se propose d’aborder cette question à partir des dernières recherches et découvertes en la matière.
À l’occasion de la Foire de Brindas, le Vieux Brindas a proposé (en avant goût de la fête villageoise “Les Années Folles” du 25 mai) une exposition sur la vie locale et les réclames des Années 20. Le 28 avril 2019, plus de 450 visiteurs sont venus, au Clos des Arts et des Lettres, voir les panneaux réalisés par les membres de l’association.
Photos © Christiane et Michael Hughes.
Les Années Folles, une période faste qui fait suite aux horreurs de la “Grande Guerre” et pendant laquelle hommes et femmes veulent oublier les privations et jouir de la vie retrouvée…
Les femmes, qui ont dû s’adapter à l’absence des hommes partis à la guerre, ont pris de nouvelles habitudes vestimentaires et opté pour des coiffures et des toilettes à la fois plus pratiques et plus masculines…
Après la fin du conflit, une génération nouvelle rêve d’un monde nouveau et proclame « Plus jamais ça ! ». On s’empresse de lui proposer de nouvelles griseries sur fond de musique.
Venu d’Amérique avec les Alliés, le jazz fait son apparition mais également la danse, la radio et les sports, les industries avec les électroménagers, etc., sur fond de très forte croissance économique…
© Photos de Michael Hughes.
M. Paul Pelcé, archéologue, fait état de ses recherches concernant le château et le vingtain du village de Brindas, ainsi que l’église de Brindas et son évolution au fil des siècles. Retrouvez ces articles de fond dans la rubrique Patrimoine Historique.
Un article du Progrès
Correspondant avec les CM2 de Brindas, une classe de Nouvelle-Zélande avait envoyé une photo de tombes de soldats morts pendant la Première Guerre mondiale. Christiane et Michael Hugues ont cherché les tombes.
Depuis trois ans, l’actuelle classe de CM2 de l’école annexe publique correspond avec une classe d’Auroa, dans la région du Taranaki, en Nouvelle-Zélande. Il y a un an, les élèves de la classe de Serge Galligani ont découvert une photographie confiée par leurs correspondants néo-zélandais, sur laquelle figurent les noms de neuf soldats gravés sur un mémorial qui jouxte l’école d’Auroa. Ces soldats sont morts en Europe pendant la Première Guerre mondiale. Une note accompagnait la photo en précisant les lieux où six d’entre eux sont enterrés en France et en Belgique.
Deux Brindasiens, ont parcouru les cimetières du Commonwealth et ont retrouvé les tombes de chacun de ces soldats. Respectivement belge et britannique, Christiane et Michael Hugues sont nés en 1948 et 1949 à Bruxelles. Ils sont, tous les deux, installés en région lyonnaise depuis 1970, et brindasiens depuis 1974.
« Nous sommes cinéastes et avons pu travailler dans des domaines très variés tels que le documentaire, le film institutionnel ou scientifique, mais aussi des productions personnelles, confient-ils. Nous nous sommes également impliqués dans de nombreuses associations brindasiennes, dont Le vieux Brindas, depuis sa création; l’Amicale laïque (les écoles publiques). La vie locale à travers son histoire, son présent et son avenir nous tient à coeur. »
C’est lors d’une discussion avec l’instituteur Serge Galligani, que Christiane et Michael Hugues ont appris que plusieurs soldats néozélandais, figurant sur le monument aux morts d’Auroa, étaient tombés en 1917, aux environs de Ypres. Il leur communique alors informations qu’il a reçues, mentionnant essentiellement les noms et les cimetières où les soldats étaient enterrés pour certains, commémorés pour d’autres.
« Munis de ces renseignements, et profitant d’un voyage à Bruxelles, nous avons fait un crochet par Ypres et ses environs, et nous nous sommes rendus dans les différents cimetières militaires des soldats du Commonwealth en Belgique et en France, explique Michael Hugues. Nous avons retrouvé, dans plusieurs cimetières, certains noms indiqués par les élèves de CM2. Ces cimetières sont des extraterritorialités, parfaitement entretenus par la Commonwealth War Graves Commission (CWGC : Commission des tombes de guerre du Commonwealth). Grâce aux informations détaillées figurant dans un registre à l’entrée de chaque cimetière, nous avons pu retrouver les tombes, ainsi que les noms gravés sur les monuments pour les disparus. »
Photos de la commémoration du 11 novembre à Brindas.
Dans la Grande Salle des Fêtes :
Photos de © Michael Hughes.
Quelques photos de la conférence Les Femmes et la Guerre de 1914-18, par Mme Monique Chapelle, et organisée par le Vieux Brindas.
Un article du Progrès (11/11/2016) à propos de la prochaine conférence organisée par le Vieux Brindas, le 26/11/2016.