Les maquis se développent autour de Lyon occupée
- Maquis FFI Laplace dit « Robespierre » (Albigny, Montrottier) 400 hommes dès 1943.
- Maquis FFI « Berthier » à Thizy, St-Symphorien, Ste-Foy-l’Argentière.
- Maquis FTP (communiste), 1250 hommes dans la vallée de l’Azergue.
- Maquis FTP-MOI, replié au Col de la-Croix-du-Ban à Pollionnay.


Résistants brindasiens
Alexandre Bruneton dit « Bruno » fait partie du maquis Belledonne et Grésivaudan, 1er bataillon FFI (compagnie Stéphane) qui deviendra le 15eme BCA et poursuivra la guerre jusqu’en Autriche (Feldkirch).
Pierre Lhopital, est parti en résistance (maquis de la montagne des Princes vers Seyssel).


André MARON, natif de Brindas, engagé volontaire France Libre est exécuté sommairement par les Allemands le 30 mars 1944 à l’âge de 20 ans, dans la Drôme.
Réfractaires au STO

Pour ne pas partir en Allemagne, les jeunes entrent en clandestinité. Francis Dominique† nous avait confié :
« Mon frère Joseph, de la classe 1942, a quitté Brindas pour se cacher à Villechenève ».
La catastrophe de Duerne
Le maquis de St-Symphorien-sur-Coise recevait régulièrement des parachutages de matériel, d’armes et d’argent. Le 15 août 1944, sept aviateurs américains périssent dans leur avion qui s’écrase à Duerne sous les yeux du Commandant Mary.
